Enfin ! Le Soleil a pointé ses premiers rayons sur Dijon ! Les températures remontant, les premiers insectes et les premières araignées ont commencés à sortir ! Du coup, mercredi dernier, à peine le temps de manger après avoir finis les cours que me voilà à arpenter les rues de la ville en quête des premières bestioles du printemps ! J'ai dû souffler la poussière sur le sac de l'appareil photo car ça faisait longtemps que je ne l'avais pas sorti ! ...
Lire cet articleOn peut faire de la macro-photo n'importe quand : la preuve, à la fin des cours le mardi à 16h, s'il fait beau et que je n'ai pas trop de devoirs qui m'attendent à la maison, je fais un saut éclair chez moi et me voilà dans Dijon, appareil photo et trépied en main, à la recherche de la microfaune qui se cache dans la ville ! Et souvent on trouve des choses que seul un oeil avertie peut débusquer (beaucoup de gens ignorent toute la diversité animale qu'il y a en ville, pensant qu'il y a plus de choses int&eac...
Lire cet articleLa bonnette macro est assez difficile à manier à l'extérieur. On pourrait penser qu'à l'intérieur, au calme, non soumis aux éléments, ça serait plus facile. Et bien non c'est tout le contraire ! Un ami m'a apporté une Tégénaire mâle Eratigena atrica en début octobre... Je me suis frotté les mains en me disant "Cool, ma première tégénaire qui va être photographiée à la bonnette !". J'ai eu tort... Le fait est que pour manier...
Lire cet articleLe 30 août (oui je sais j'ai un peu de retard) je me suis promené dans la forêt de Jouvence, à Messigny-et-Vantoux (juste à côté de Dijon). Et qui dit sortie en forêt dit nécessairement ballade photographique ! La sortie fut malheureusement assez pauvre en diversité mais j'en ai bien profité ! Araneus diadematus, l'Epeire-diadème. Très commune, cette femelle a été rencontrée sur un poteau de bois. Elle mesurait 12 mm. ...
Lire cet articleJe suis retourné à Chalon pour voir de la famille (en août). J'en ai profité pour faire le test "grandeur nature" de ma bonnette macro. Cette expérience fut riche en enseignements. La DCR-250 nécessite l'utilisation d'un trépied. Et c'est loin d'être facile : la plupart du temps, je n'ai utilisé que deux, voire qu'un seul pied du trépied : en effet, les sujets sont rarement immobiles. De plus, quand ils le sont, leurs supports peuvent bouger (par exemple, une feuille qui bouge sous l...
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